Ethiopie
14 au 22 février 2020
Ce voyage est différent des autres puisqu'on part en voyage organisé par Aventure et Volcans, sur le thème « Ethiopie – Erta Ale, Dallol : une autre planète » proposé par notre ami Etienne. On a donc privatisé un groupe pour rester entre amis avec Étienne, Stéphane, Michèle, Jean-Michel et Thierry. On sera accompagné d'un guide, chauffeurs, cuisinier et policier.
Le but de ce séjour d'une semaine est de voir le volcan Erta Ale et son lac de lave et Dallol.
Vendredi 14 février : départ de la maison à 13h15 pour aller chez Michèle et Jean-Michel. On laisse notre voiture dans leur sous-sol et on file chez Parkinéo ensemble à 16h30. Ça roule bien et on arrive à l'aéroport en une demi heure. Thierry arrive puis Étienne et Stéphane. Nous récupérons les masques à gaz que nous avons dû acheter pour les volcans. Puis on s’enregistre, on passe les sécurités et on décolle à 21h15. La compagnie est Ethiopian Airlines. Le vol se passe bien.
Samedi 15 février : on arrive à Addis Abeba à 6h20 (heure locale) pour une escale de 5h. On descend sur le tarmac et on est emmené en bus dans l'aéroport. C'est un peu le bazar, ce n'est pas très bien indiqué pour savoir où aller. On cherche le bureau de change pour prendre des birrs. Ensuite on va grignoter quelque chose. On est déjà dans l'ambiance : une femme fait le café. Elle est assise par terre avec des tasses devant elle et fait griller les grains de café. Ça sent bon. Puis on file à la porte d'embarquement et on décolle avec du retard à 11h45 pour Lalibela dans un petit avion à hélices.
La descente se fait également sur le tarmac et on rejoint à pied le petit aéroport.
Une fois les bagages récupérés, on est accueilli par Mekashaw dit Mika qui sera notre guide pendant notre séjour. Il fait parti de Sphère Tour & Travel. Il nous présente le chauffeur Sovalo. Celui-ci charge les bagages sur le toit d'un minibus.
On rejoint la ville de Lalibela. Et là, c'est le choc culturel : les maisons sont construites en bois et tôle, les enfants marchent pieds nus et sont habillés en guenilles. Partout dans les rues, les détritus jonchent le sol. C'est la misère. Des ânes, chèvres, vaches se promènent dans les rues. Sovalo nous conduit au Lal Hotel.
On dépose nos affaires dans nos chambres avant d'aller déjeuner. L'hôtel est pas trop mal. A 15h30, on part avec Mika visiter les églises typiques de Lalibela. On est accompagné par Ababa qui est chargé de surveiller nos chaussures que l'on doit retirer lorsque l'on rentre dans les églises et on les enlève un paquet de fois ! Ces églises sont creusées et taillées dans la roche. C'est assez impressionnant. On commence par le groupe nord.
Les intérieurs sont assez simples : des tapisseries et quelques signes religieux.
Puis on finit par l'église St Georges, la plus connue et la plus belle. Au coucher du soleil, c'est superbe. La lumière est belle.
Retour à l'hôtel à 17h40. On tente de prendre une douche mais l'eau est tellement bouillante qu'il est impossible de rester dessous. On va le signaler à la réception et un gars vient voir mais ne répare pas. Il nous donne la clé de la chambre d'en face. Pour le coup, l'eau n'est pas super chaude mais on fait avec. La nuit est très bruyante avec un gars qui appelle à la prière.
Dimanche 16 février : debout à 6h10 pour le petit déjeuner à 7h00 (buffet). Départ à 7h30 pour les églises. Il fait beau et chaud. Aujourd'hui, c'est jour de messe. Tous les croyants portent une étole blanche.
On entre dans plusieurs églises. C'est assez fort. Mais on ne se sent pas super à l'aise, on ne se sent pas à notre place et on ne sait pas trop si on peut prendre les gens en photos.
On retourne dans quelques églises faites hier. On assiste même à un mariage où 3 couples s'unissent en musique. Ils sont beaux.
Ensuite on va visiter le secteur sud.
Dans l'une d'elle, on doit emprunter le « tunnel de l'enfer » pour rejoindre la suivante. Il faut passer en file indienne en mettant la main droite sur le mur et la main gauche sur l'épaule de la personne devant soi. Le tunnel fait 25 mètres et il fait très noir. On demande à Mika de retourner à St Georges. Avec un peu de hauteur, on voit toutes les personnes en blanc et c'est très beau.
On va ensuite déjeuner au Kana Restaurant : buffet local. C'est pas mal. Mika nous laisse. On retourne à pied à l'hôtel pour mouler un peu. A 15h00, Mika et Sovalo viennent nous chercher pour aller visiter le monastère St Neakutoleab. Il est construit sous une alcôve dans la montagne.
L'endroit est très joli. On visite les quelques salles de prières et un prête nous montre ses trésors : différentes croix et un livre de prières très ancien.
Retour à l'hôtel à 17h00.
Lundi 17 février : debout à 5h45. Départ à 7h10 pour Mékélé. On a 450 km à faire depuis Lalibela. On passe par des pistes qui traversent des montagnes, des plaines, des villages. C'est très beau mais sec.
Quelques endroits sont verdoyants grâce à des petits cours d'eau.
Il y a des cultures en terrasse. Lors de la traversée de villages, les gens et surtout les enfants réclament de l'argent. On monte jusqu'à 3130 m d'altitude, c'est beaucoup plus vert : il y a des eucalyptus, des bambous, des bananiers et des champs de maïs, orge, blé, haricots, oignons et choux. Le guide achète des pois chiches chauds et des graines pour nous faire goûter. On redescend de la montagne et c'est très arboré. Le paysage est chouette, dommage qu'il y ait des ordures un peu partout. L'agriculture se fait à l'ancienne avec des boeufs.
On passe par le village de Sanka puis par Weldiya.
Il y a un bouchon de tuk-tuk et de camions, ça grouille de monde. On s'arrête déjeuner dans un restaurant à 12h50 (poulet curry). La route est super longue, heureusement on a récupéré de l'asphalte. On est contrôlé plusieurs fois et une fois on nous demande les passeports. Après 10h00 de route, on arrive enfin à notre hôtel à Mékélé, dans la région du Tigré : Desta Hotel à 18h30. Les bagages doivent passer dans un portique de sécurité. On s'installe dans nos chambres, c'est très classe,
puis on va dîner. C'est l'anniversaire d'Étienne aujourd'hui : 50 ans, on ne pouvait pas laisser passer ça ! On lui a fait la surprise d'un gâteau et quelques petits cadeaux. Etienne nous offre un vin blanc éthiopien, il est très bon.
Mardi 18 février : debout à 6h45. Départ à 9h00 avec Mika dans 2 véhicules 4x4 et 2 chauffeurs : Johnny et Ayé.
Une autre voiture est déjà partie avec un cuisinier. On a environ 300 kilomètres à faire pour aller jusqu'au campement de l'Erta Ale. On s'arrête dans un village de la région de Mékélé où il y a un marché, Blazat. On fait le tour du marché avec Mika, c'est très coloré. Les étals sont à même le sol : légumes, épices, sandales en plastiques, tissus...
À 10h35, on arrive dans la ville de Abala à 1470 m d'altitude, c'est le début de la région Afar. Johnny et Mika vont chercher les autorisations pour monter sur le volcan Erta Ale. Pendant ce temps, on boit coca ou café dans un boui-boui. On emmène avec nous un policier Khaleb (et sa kalashnikov) qui nous accompagnera jusqu'à la fin de notre séjour. On s'arrête manger dans un autre village : Irepahti, à midi. Le « resto » est une cahute faite de bois et de tôle.
Un vieux billard trône à l'entrée. Ce n'est pas le premier que l'on voit, dans tous les villages, il y en a un voire plusieurs - étonnant. On s'installe sur des chaises en plastique et notre cuisinier nous sert du riz, des légumes, du thon et sardines en conserve et banane en dessert. On va faire un petit tour aux toilettes, qui sont... comment dire... très rustiques.
On repart à 13h00. Le paysage est plat et monotone, c'est long. Et d'un coup, il devient volcanique. Des collines de roches noires apparaissent.
On descend à 150 m d'altitude. On passe devant des villages nomades : cahutes en bois. On se demande comment ils font pour vivre ici. Il n'y a rien, pas d'eau, rien à manger. On voit les tombeaux de leurs morts. Mika nous explique que les morts sont enterrés là où ils meurent. On passe une barrière et on prend une piste à gauche, tout droit c'est l'Érythrée. Il fait très chaud, environ 40-42 degrés à 14h20. Une route en béton faite par les chinois est en construction le long de la piste, ce sera bientôt le défilé des touristes. À 15h00, on quitte la piste pour s'enfoncer dans le bush, dans le sable, pour aller payer une autorisation aux Afars. On s'arrête encore dans un autre village pour un autre contrôle et encore payer ! À 16h35, on arrive enfin au camp. Il s'agit de cahutes en pierre et toit de paille au pied du volcan Erta Ale.
À partir de là, il faut monter à pied. Avant cela, on finit de préparer nos affaires et donner au guide les sacs qui vont monter avec les chameaux. On commence la montée à pied à 17h10, il fait 36 degrés. Ça monte en continu mais tranquillement, pas de gros dénivelé, mais cela se fait dans la caillasse volcanique, pas des plus agréable ! On fait pas mal de pauses pour boire car il fait très chaud. On va là-haut :
On arrive de nuit au 2ème campement à 19h15. On a fait 4,4 kms avec 285 m de dénivelé. Ce camp est fait des mêmes cahutes en pierres. Les chameaux arrivent à 19h30.
On dîne des spaghettis préparés par notre cuisinier assis sur des matelas. On va ensuite voir le lac de lave. En cours de chemin, on doit mettre les masques à gaz. Les fumées viennent vers nous.
Il n'y a que 2 points d'activité sur le lac, on ne voit pas grand-chose et pourtant les parois sont orangées. Ça doit bouillonner juste en dessous de nous mais les guides nous empêchent d'approcher, trop dangereux.
Quelle frustration ! On revient au campement vers 21h30 sous la fumée. On tousse beaucoup. On installe les moustiquaires pour dormir sur les matelas installés dans les cahutes. Il faut remettre parfois le masque à gaz. Je n'arrête pas de tousser. Par contre, il ne fait pas froid, on dort juste avec le drap de soie.
Mercredi 19 février : debout à 4h30. On range nos affaires et on commence la descente à la frontale vers le 1er camp. On est déçu, on pensait pouvoir aller voir le lac de lave de jour mais ça voulait dire faire la descente dans la chaleur. 1h15 plus tard, on arrive en bas et le petit déjeuner est prêt : pancakes, pain de mie grillé, confitures, jus de mangue, fruits (ananas et mangue). Le top ! On reprend les voitures à 7h30, direction le secteur de Dallol. La piste habituelle qui y mène est fermée, il faut donc rejoindre la grande route d'hier, ce qui nous fait un grand détour. À 10h55, on fait une pause au même resto qu'hier à Irepahti. On boit un coca pendant que le cuistot prépare le repas du midi. On repart à 11h30 puis on s'arrête manger à 12h30 à Abala. Il y a un marché Afar. Le policier nous propose d'aller le visiter.
On n'est pas super bienvenu. Certaines personnes ne veulent pas être prises en photos. On repart à 13h45. À 16h30, on s'arrête à un endroit pour voir la dépression du Danakil. Il s'agit d'un canyon qui se trouve à 140 m d'altitude.
C'est très hostile : sec, très chaud : 45 degrés. À 16h45, on fait un nouvel arrêt à un endroit où on est à 0 au niveau de la mer. Mika nous emmène voir plein de rochers fossiles : coquillages, éponges de mer...
On arrive enfin à 16h45 dans le village d'Ahmed Ila. Au milieu du village, on s'arrête près de cabanes en bois ouvertes aux quatre vents. Ce sera notre camp pendant 2 jours. Des lits construits en bois avec des peaux de chèvre ou de vache en guise de sommier sont installés le long d'un bâtiment dans la rue, sur un genre de place de village. Les chauffeurs mettent les matelas dessus. Ce sera notre dortoir... comme ça... en plein air devant les habitants.
Les ânes et les chèvres traversent notre « chambre » ! Immersion totale ! Les jeunes du village nous observent comme si on était des bêtes sauvages. Même au fin fond de nulle part, on trouve un bar avec des bières et des boissons fraîches. On y va avec Mika et Ayé.
Ca fait du bien ! Le vent se lève et soulève la poussière. Elle est tellement fine qu'on en a partout, dans les yeux, les oreilles, elle colle sur la peau. Ici pas d'eau courante donc pas de sanitaires en "bonne et due forme". Il y a des toilettes turques sans eau. Et la douche, c'est juste un bidon rempli d'eau et un godet à vider sur soi. Allez, je tente ! Ça fait du bien quand même. Je me sens moins poussiéreuse. Des enfants viennent nous parler. L'un d'eux à une blessure sur le bras avec des mouches dessus. Jean-Michel propose de le soigner. Avec Michèle, ils désinfectent la plaie et lui mettent un pansement. On essaie de lui faire comprendre qu'il doit garder le pansement 2 jours avant de l'enlever (bon, il reviendra le lendemain, le pansement à moitié décollé !).
On dîne à 19h30 : soupe de légumes, salade verte et tomates, spaghettis, riz, frites, viande et banane. Dodo vers 21h00 sous le vent et la poussière qui vole.
Jeudi 20 février : quelques gouttes de pluie tombent. La nuit à la belle étoile a été plutôt pas mal, c'était calme et les lits confortables. Debout à 6h15. On range nos lits et on petit-déjeune : tartines et fruits. Départ à 7h30 pour Dallol avec un "militaire" Abdu, dit "Rasta kalash", et sa kalashnikov. On roule sur les pistes de sel. C'est très beau. Malheureusement il se met à pleuvoir. Mika nous dit qu'il pleut 1 à 2 jours par an, c'est pas de bol, il faut que ce soit aujourd'hui ! On attend un peu dans les voitures que ça se calme. On y va à 9h10 pendant une accalmie. On monte sur une petite colline de pierres violettes et jaunes.
Le militaire nous fait faire un grand tour. On découvre des palettes de couleurs incroyables, des formes étranges, des "dentelles" toutes fines, des petites piscines d'eau turquoise ou verte.
C'est vraiment magnifique. C'est plus grand que ce qu'on pensait. Par contre, on se reprend une bonne averse. L'eau n'est pas froide mais on est trempé jusqu'aux os. Il fait 25 degrés. On reste 2h20 sur le site. Malheureusement, pour cette visite, on marche sur ces formations, ça « croustille » sous nos pieds et on abîme tout. On n'aime pas ça. Faut vraiment que quelque chose soit fait, des pontons par exemple comme à Yellowstone, sinon en quelques années et avec la montée du tourisme, le site sera détruit. On revient aux voitures à 13h30 et on va voir un autre site. Là, il s'agit de "pics" en sel.
On va ensuite voir un petit lac bouillonnant : Petroleum.
Cela nous fait penser à Yellowstone. On revient au camp à 13h45 pour déjeuner : lentilles, riz, oranges. On refait nos sacs en vu du départ de demain. Un petit garçon, Amin, vient discuter avec Étienne.
D'autres enfants viennent au pied de nos lits dont la jolie Aïcha.
Elle parle 3 mots de français "bonjour ça va". A 16h30, on part pour le lac Karoum. On y voit les blocs de sel extraient par les travailleurs et empilés en attendant d'être emportés par camion (plus de caravanes de chameaux).
On grimpe sur la petite montagne Assalé. A son sommet, la vue n'est que mer de sel jusqu'à l'horizon. C'est immense. On va ensuite plus loin sur la mer de sel, pour assister au coucher du soleil.
La lumière est très belle. On part à 18h15.
Vendredi 21 février : debout à 4h45 car la veille, on a négocié avec Mika pour retourner à Dallol. Le ciel est couvert. On part à 7h10. Le militaire nous fait faire un tour différent. Ici le jaune est éclatant.
C'est magnifique. Il fait 28 degrés. Il y a tellement à voir qu'on ne sait plus où donner de la tête.
On passe encore 1h10 sur le site. Retour à la voiture à 8h40. On repasse au camp charger les valises. Aïcha est là et aide à charger les bagages. On repart à 9h45 direction Mékélé. On arrive à un barrage à la fin du pays Afar. L'un de nous s'apprête à prendre une photo mais là ça part en vrille. Un jeune policier se met à gueuler et ne veut pas baisser la chaîne. Notre chauffeur Johnny s'énerve aussi et ça s'engueule de plus en plus fort. Il finit par couper le moteur et descend de la voiture. Je crains le pire. Nos deux autres voitures nous rejoignent. Le jeune policier ouvre le coffre mais le chauffeur le referme aussitôt. Ayé vient à la rescousse et va baisser lui-même la barrière. Ouf on passe ! On passe un col dans la montagne et nous voilà dans la région du Tigré. On retrouve le ciel bleu. On passe sans problème à d'autres contrôles aux entrées ou sorties de villages. On s'arrête à un point de vue sur Mékélé. On fait quelques photos et on dit au revoir à notre cuistot et son chauffeur. On arrive enfin à Mékélé à 13h00. On rejoint le Planet Hotel pour déjeuner et prendre une douche. L'hôtel est très classe et le repas très bon. Nos chauffeurs viennent nous rechercher à 15h50 et nous conduisent à l'aéroport. On dit au revoir à tout le monde. On doit passer une sécurité à l'entrée de l'aéroport puis on s'enregistre avant de passer une nouvelle sécurité. On décolle à 18h10 avec 15 minutes de retard pour Addis Abeba, où l'on arrive à 19h15. C'est encore le bordel pour passer les contrôles, on ne sait pas où aller. Finalement, un agent nous accompagne jusqu'à l'immigration. Il faut prendre un bus jusqu'au terminal 2. On dîne dans un buffet mais c'est vraiment pas terrible. On achète quelques souvenirs. Enfin, on embarque à 0h30. On décolle avec 45 minutes de retard. Ils servent un dîner alors que je préférerais qu'ils éteignent les lumières pour dormir. Je n'en peux plus !
Samedi 22 février : un petit-déjeuner est servi vers 4h00. On atterrit à Paris à 6h10. On récupère nos bagages. On se quitte tous contents de cette belle expérience. On part avec Michèle et Jean-Michel pour retrouver Parkinéo. On reprend leur voiture et on se fait un bon petit déjeuner chez eux avec des croissants et pains au chocolat. Encore 1h de route pour nous et on arrive à la maison à 10h00.
En fin d'après midi, on apprend que l'un de nos amis est à l'hôpital avec forte fièvre, diarrhée et déshydratation. Un autre ne répond pas au téléphone ni à la porte, on commence tous à s’inquiéter (finalement il a dormi 24 heures non stop !) et 2 autres sont malades, dont moi, fièvre à 39,5°, diarrhées, maux de ventre. 4 malades sur 7 personnes ! Quelques arrêts de travail, du repos et ça va passer. On ne s'attendait pas à une fin de vacances comme celle-ci.
Copyright Magali et David BELLEC